Chacun a applaudit sa nomination, croyant à un avenir radieux, 6 mois après sans se tromper, on se rend compte que ce Monsieur ne roule que pour sa gloire personnelle et s’en fiche pas mal du sort de la Guinée et des Guinéens.
Comment un intellectuel comme lui peut-il continuer à cautionner un manque de visibilité au sein d’une transition? Comment peut il garder le silence alors que la Guinée est à un tournant decisif de son histoire?
La réponse desormais est claire, Mohamed Béavogui ne peut rien changer et ne pourra rien apporter. C’est un figurant qu’on tourne quand on veut et comme on veut et qui laisse faire. Il n’est pas un homme qui relève des défis et qui prend ses responsabilités.
C’est triste pour un pays quand des intellectuels décident de rester dans un confort personnel et laisser une crise s’enliser.
L’histoire le retiendra malheureusement qu’il n’a pas eu le courage de ses convictions et malheureusement après ces derniers jours à la tête de la primature, il regrettera pour toujours.
Il faut tirer les leçons et arrêter de croire qu’un fonctionnaire international peut faire évoluer le débat, c’est simplement une chimière.
Il doit avoir le courage de demissionner avant que le deluge ne tombe.