Dans une chanson d’un pseudo artiste appelé M’Boma on entend une voix raisonnée dans la plus grande insolence. Il s’en prend aux femmes âgées d’une vingtaine d’années en touchant leur dignité et intimité sans vergogne.
Au-delà de cette atteinte aux femmes âgées, l’artiste encourage aussi les hommes à se déverser dans la pédophilie sans oublier son incitation au viol des mineures. On entend l’artiste dire carrément de n’épargner même celles qui sont entre 10 et 15 ans. Cela est une grave atteinte à nos mœurs et coutumes. La pédophilie et le viol sont des choses interdites en République de Guinée. Ce renégat et l’ensemble des gens qui analysent comme lui, doivent savoir qu’il n’existe pas de sexualité consentie avec une mineure. Une mineure reste une mineure dans toute sa forme. Ses facultés de réflexions ne l’a permettent pas de mesurer l’ampleur de ses actes. Donc, elle est à protéger car avoir une relation sexuelle avec une mineure est synonyme de la pédophilie voir même du viol. Tout homme ou toute femme qui se livre à de tels actes mérite de subir la rigueur de la loi sans pitié.
Pour cette œuvre d’art dépourvue de tout respect humain, son auteur doit être sanctionné à la hauteur de sa forfaiture. Il doit être arrêté jugé et condamné pour son acte. La justice guinéenne doit rendre au peuple de Guinée ce noble service. Et c’est aussi le moment de sanctionner les autres artistes qui excellent dans le même sens. Le dossier M’Boma doit servir d’exemple aux autres artistes. La musique a pour mission d’enseigner, d’éduquer, de sensibiliser et surtout de conscientiser. Un artiste est le porte-voix du peuple. Il est comme un guide pour les générations. Il doit servir d’exemple car il reste un messager pour la société. M’Boma fait la honte de la musique pastorale guinéenne et celle de toute la Guinée.
Alpha Bakar Sank Diallo