Nouvelle Constitution : les six questions  intéressantes de Dr Dansa Kourouma

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Le président du conseil national des organisations de la société civile Guinéenne(CNOCSG), Dr Dansa Kourouma   été reçu ce mercredi 18 septembre 2019, par  le Premier ministre Ibrahima Kassory Fofana au palais de la Colombe,  dans le cadre des consultations nationales. Au cours des entretiens des deux sujets  étaient  à l’ordre du jour  à savoir l’organisation des élections législatives et la nouvelle constitution où Dansa Kourouma s’est posé des questions pour mieux comprendre.

 

Justement parlant  de ces séries de questions que sa structure a posées au PM, Dr Dansa  Kourouma dira : « Alors nous avons formulé six questions qui sont les préoccupations à savoir :  « en quoi est-ce que les consultations sont représentatives de l’opinion du peuple ? Qu’est-ce qu’on reproche à l’ancienne constitution et qui a porté préjudice au fonctionnement normal de l’Etat ? Quelles sont les bases juridiques pour parler de nouvelle constitution ? Quelles sont les justifications de l’impact du changement constitutionnel sur les conditions à la fois politique, sociale et économique de la Guinée ? Et en dernier ressort quelle est la procédure d’élaboration d’une nouvelle constitution quand l’ancienne est en vigueur ? Les membres du CNOCSG ont posé des préoccupations, c’est la réponse de ces préoccupations qui nous permettra de prendre une décision sereine. Et on ne peut pas se prononcer sur une constitution qu’on a pas vue ».

Dans les jours à venir, il promet au premier ministre  de rencontre la CENI soit dans le cadre du cadre de dialogue interpartis  ou bien  à travers  une délégation  pour les poser   des questions et s’assurer effectivement que le chronogramme est déroulable d’ici  le 28 décembre : « qu’on allait rencontrer la CENI soit dans le cadre du cadre de dialogue interpartis  ou bien  à travers  une délégation  pour les poser   des questions et s’assurer effectivement que le chronogramme est déroulable d’ici  le 28 décembre. Et la dernière observation qu’on a formulé, nous regrettons du faite que  la CENI est au bord d’une crise encore, une nouvelle crise d’ailleurs qu’on a prévenue quand on faisait la loi sur la CENI…  il faut que les commissaires  de la CENI après prestation de serment arrêtent de s’identifier aux entités qui les ont désigné, c’est un parjure. Il n’y a pas de commissaire de l’opposition, ni de la mouvance ou de la société civile, ce sont des commissaires tout court. Ils ne doivent qu’obéir qu’à l’autorité e la loi

Namory T

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