À moins d’un mois de l’ouverture des institutions d’enseignement supérieur en Guinée, l’université Général Lansana Conté de Sonfonia dit être bien préparée pour l’occasion. Selon le chargé de l’information de ladite Université qu’un de nos reporters a rencontré sur place, la grande institution d’enseignement public qu’est l’UGLC était déjà préparé pour la rentrée.
C’est bien l’une des plus grandes universités sinon la plus grande institution publique d’enseignement supérieur, 18 mille étudiants l’année passée répartis dans 4 facultés qui contiennent 16 programmes, 17 Masters et deux écoles doctorales selon le directeur de l’information et de la Communication de l’université. Pour monsieur Mamady Sayon Camara l’année s’est très bien passée : « d’après le conseil de l’université, tous les programmes ont été enseignés et évalués. C’est-à-dire qu’en matière d’enseignement, on a enregistré une réussite de près de 100% », dit-il.
Si M. Camara vente la réussite qu’a enregistrée son institution à part un accident qui s’est survenu en dehors de la cour de l’université, il botte en touche les autres difficultés administratives et autres.
Pour la rentrée du 02 novembre prochain, monsieur Sayon dit que les autorités de l’UGLC avaient déjà pris toutes les dispositions pour une rentrée réussie. « En réalité notre université s’est préparée pour une rentrée en octobre, donc quand on nous a informés que maintenant la rentrée est prévue à novembre, nous ne ferons que renforcer ce qu’on a mis en place. Aujourd’hui, vous pouvez le constater, l’université, ce sont seulement les programmes qui ne sont pas affichés, c’est-à-dire les emplois du temps, sinon tous les programmes sont effectués par les facultés et remontés au niveau des vices recteurs chargés des études ».
L’orientation des nouveaux étudiants déjà faite, cependant, le directeur de l’information dit ne pas être informé pour le moment du nombre d’étudiants orientés dans son université.
Néanmoins, avec le faible tôt de réussite au baccalauréat cette année, « il n’y aura pas de pléthore par rapport aux places », nous confie monsieur Sayon Camara.
Diarouga Aziz Baldé pour Planete7.com