Avec la volonté doublée de détermination, rien n’est insurmontable. Sa percée fulgurante impose respect et considération. Qui aurait cru qu’en ce laps de temps, la direction de la communication et de l’information de la présidence de la république en abrégé -DCI- aurait forcé l’admiration des plus dubitatifs, par des résultats aussi tangibles ? La DCI, plus qu’un sigle, est devenue un label dans le monde de la communication institutionnelle en Guinée.
Comme un don divin, son jeune Directeur, Moussa Moise Sylla y a apporté sans tambour ni trompette des innovations, a réussi à organiser la structure et aligné la qualité de ses productions sur des standards internationaux.
Dire à cette étape qu’elle accomplit impeccablement sa mission essentielle, qui est celle de présenter l’image du président de la transition, loin des rumeurs et des passions de tout ordre, est un euphémisme.
En bon manager, le Président de la transition a gagné son pari, en misant sur la jeunesse pour bâtir une équipe de communicants, dynamiques, professionnels et surtout dévoués.
Véritable vitrine de la présidence de la république, la DCI a réussi à inculquer à l’opinion par son professionnalisme, les qualités de l’homme d’Etat, le colonel Mamadi Doumbouya. Son patriotisme légendaire, sa détermination à débarrasser son pays des pratiques qui l’ont agenouillé, son amour sans égal pour ses compatriotes et, le tout empreint de sacrifice ultime qu’il est prêt à consentir pour y arriver.
À l’heure du numérique, la DCI est devenue maîtresse des réseaux sociaux en Guinée. Après s’être dotée d’une charte graphique, elle a créé de nombreuses pages officielles avec des identités sonores et visuelles. Que dire du nombre d’abonnés attirés par des publications et, capsules qui ont explosé le compteur en un laps de temps. Cerise sur le gâteau, le géant Google vient de les certifier.
Les innovations sont en ébullition continue à la DCI . Fonctionnant comme une véritable régie de communication, elle a initié une émission hebdomadaire intitulée, « Dossier de la semaine » où les ministres déroulent les acquis sous l’ère CNRD.
Toujours animée par la volonté ardente de sortir de l’archaïsme, la DCI a lancé à l’occasion de la célébration de l’an un du CNRD, un magazine au contenu riche et varié. Grâce à la richesse de son contenu et sa qualité, il a marqué les lecteurs au-delà des frontières guinéennes. A telle enseigne qu’il a provoqué chez ses lecteurs, une demande à satisfaire comme une gorge sèche envieuse d’eau.
La parution du deuxième numéro de ce magazine a été célébrée avec faste, ce 10 novembre 2022 dans un réceptif hôtelier de Conakry. L’événement a enregistré la présence des plus hautes autorités du pays, ainsi que la substance du monde des médias guinéens. Jusque-là, la cuisine interne de la DCI était tenue secret. À l’occasion, elle a introduit ses invités dans ses coulisses pour les faire découvrir son organisation et, ses activités quotidiennes. Ce fut aussi, un moment de partage des innovations apportées, notamment, l’information dans les langues nationales et internationales et, les nouveaux espaces de communication sur les réseaux sociaux.
Elle fait feu de tout bois pour rendre visibles et lisibles, les actions du président de la transition et du CNRD. Les réformes de toute nature sous l’ère CNRD font l’objet de documentaires. C’est comme une machine qui tourne sans arrêt. Grâce à sa prolixité, elle occupe souvent la « une »des médias nationaux et internationaux, par des reportages, des chroniques, des tribunes, des billets, des dépêches etc.
D’ailleurs pour la DCI, la communication et l’information, en plus d’être des images et messages qu’on envoie au monde, doivent apporter au combat du colonel Mamadi Doumbouya, tout son sens. Celui de redonner à la Guinée, la place qu’elle mérite dans le concert des nations, mais également de rendre heureux tous les guinéens.
Bella Kamano