Le passage de M. Bah Oury des anciennes forces dites « vives » 2009 anti CNDD doit servir de leçon pour les forces dites « vives » 2023 anti CNRD (Bogola Haba)
Entre un militant et un leader qui suit qui ? Qui peut faire entrer qui dans l’enceinte close de la pelouse du 28 Septembre après avoir franchi deux portails fermés par l’administration du stade en principe ? Qui a ouvert ces deux portails et pourquoi l’ouvrir sans s’assurer de la présence des agents de la protection civile ?
Suivons ensemble la vidéo á partir de la 3e minute 18e seconde pour notre réaction á chaud et message aux guinéens pour ne plus se laisser manipuler une deuxième fois á cause des mêmes leaders qui ne changent pas ni de méthodes ni de stratégies dans leur lutte de conquête ou de reconquête du pouvoir politique en Guinée.
En effet, le passage de Monsieur Amadou Oury Bah des Forces Vives version 2009 devant le tribunal criminel de Dixinn pour les évènements du 28 septembre 2009 a montré une fois de plus la légèreté avec laquelle cette décision inopportune de manifestation contre le capitaine Moussa Dadis Camara á été prise par la Troïka Alpha-Cellou-Sidya qui se sont appuyés par manipulation sur des jeunes leaders de l’époque en l’occurrence Bah Oury, Mouctar Diallo et Cie. Ce passage de Mr Bah á la barre doit servir de leçon non seulement pour tous les guinéens mais surtout pour les leaders politiques de la nouvelle génération qui se joignent encore naïvement á cette même Troïka anti- CNDD d’hier et anti CNRD aujourd’hui pour encore organiser des manifestations de ce type comme celles du 28 juillet 2022 et suivants et celles annulées des 9 , 15 et 20 mars 2023.
Devant les juges et le peuple de Guinée, le Président de la commission d’organisation de cette manifestation irresponsable du 28 Septembre 2009 Mr Amadou Oury Bah n’a pas pu justifier ni leur décision de l’époque du choix de ce jour historique , ni les actes posés par eux ce jour pour éviter á la Guinée ce qui est arrivé aux militants de leurs organisations, á l’unité nationale déchirée profondément depuis ce jour jusqu’aujourd’hui á la barre mais aussi á la réputation internationale de la Guinée, de sa date historique et de son stade mythique du 28 Septembre 1958. Le Président d’organisation n’a pas pu dire aux guinéens l’objectif réel que lui et ses paires voulaient atteindre par cette manifestation et si cet objectif a été atteint ce jour car même dans une jungle, des citoyens ne peuvent pas organiser « Un référendum de 12 millions de guinéens dans un stade fermé sans s’assurer des dispositions sécuritaires des forces de maintien d’ordre et de la protection civile. Et comme ce « référendum á la Bah Oury » a eu lieu ce jour, quel a été le résultat car nous connaissons tous le résultat du référendum du 28 Septembre 1958. Les autres guinéens de nos 4 régions et de la diaspora étaient-ils exclus du référendum des forces dites vives du 28 Septembre 2009 ? Le tribunal de l’histoire juge toujours et c’est pourquoi ce procès après 13 ans.
Comment des anciens dirigeants et hommes d’Etat ayant gouverner la nation avant cette date peuvent dire publiquement et sans honte que ce sont des gamins (leurs militants) qui les ont drainé par « forces et enthousiasme dans l’enceinte d’un stade encerclé par deux murs et cela jusqu’á la loge officielle de la pelouse pour prononcer des discours ? Et Wotan!
Entre le militant et le leader, qui a fait entrer qui dans l’enceinte fermé de la pelouse ? Ce n’est-il pas le militant qui suit généralement son leader qui est défini comme celui qui guide ou qui lead ?
Heureusement que Mr Amadou Oury Bah a compris sa faute et son erreur de positionnement de 2009 pour ne plus se joindre á la version 2023 des Forces moribondes anti-CNRD/anti-refondation en nous rejoignant cette fois ci dans la défense de la transition CNRD avec les vrai Forces Vives que nous sommes.
FNDT, Mon Devoir, Ma Patrie.
Keamou Bogola Haba
Cordinateur National du FNDT