Rectificatif : Cellou n’est pas le candidat d’un homme ni d’un lobbying, c’est plutôt le choix du cœur et de la raison du peuple (Par Marouane)
Dire que Cellou est le candidat d’un homme ou d’un lobbying est un grossier mensonge, une erreur fatale d’appréciation et une méconnaissance outrageante de la vie politique guinéenne.
Il est plutôt le choix convenable et confortable de la raison et du cœur de tout un peuple dans sa grande diversité.
La fraude n’est pas dans son logiciel politique, la fourberie, le ressentiment et la haine sont absents de son vocabulaire.
Le monde qu’il draine, la foule qu’il mobilise et les suffrages qu’il engrange aux différentes élections, le place en tête de peloton, loin devant les autres et fait de lui de facto, le choix naturel de la raison et du cœur des Guinéens.
Aucune manipulation de l’histoire, aucune ambition nourrie de nuisance et aucun récit de contre-vérité ne pourra prospérer face à Cellou l’indéboulonnable.
Cette fuite en avant des autoproclamés prodiges sur la terre promise est une cabale connue de tous et qui est malheureusement devenue la rengaine de tout pouvoir mal en point et qui a maille à partir avec les principes démocratiques.
Diantre ! Quand le paysan n’a pas son engrais, c’est la faute à Cellou Dalein.
Quand la CEDEAO sévit contre la Guinée, c’est encore la faute à Cellou Dalein DIALLO.
Quand il pleut en abondance à Conakry, il faut y voir forcément une tentative de sabotage de Cellou Dalein Diallo.
Quand un mouton bêle aux encablures de Mohammed V, c’est un envoyé de Cellou Dalein Diallo, etc…
Mais pourquoi fait-il tant peur ?
Pourquoi tant d’accusations pour ne pas dire de haine à son encontre ?
Est-ce du fait de son imposante aura ou de sa position confortable dans la course au fauteuil présidentiel ?
Alors tout ce bruit avec son lot d’accusations ne cache-t-il pas une volonté manifeste de disqualifier l’ élu des cœurs et un choix de la raison ?
Malgré la caricature diabolique de la force éphémère, le peuple, l’éternel et le dernier n’est plus dupe et ne fera plus d’erreur. Le dernier mot lui revient toujours.
Le Guinéen de notre siècle est patient, lucide et intransigeant.
Avec le temps, il sait désormais démêler le vrai du faux.
Malheureusement, de 2009 à nos jours, Cellou est devenu l’éternel bouc émissaire et le coupable désigné de tout pouvoir en chute libre.
De meilleur investisseur à Dakar au chef d’orchestre de Bissau, tout n’est que tissu de mensonges et pure diffamation.
Jusqu’à preuve du contraire, Cellou demeure l’homme politique le plus plébiscité et le plus populaire du pays, ce qui lui vaut cet acharnement sans précédent.
En attendant le coup fatal du destin, montez et descendez mais sachez juste que le ton ne fait pas la chanson.
La volonté de Dieu s’appliquera, car, il ne consulte personne avant d’agir.
Que cela soit dit et su de tous !
Par Habib Marouane Camara, Journaliste-chroniqueur.