Makanéra en politique, c’est tout comme cette femme de petite vertu (Par Marouane)
Comme on aime à le dire : « le char de l’État navigue sur un volcan », et notre célèbre coq-à-l’âne n’est nullement autre qu’un certain Alhoussein Makanéra Kaké.
En politique, ce lunatique, c’est tout comme, voire même pire qu’une femme de petite vertu. Et qui malheureusement d’ailleurs, n’a de charme qui attire que dans le vide et à l’absence des autres.
Il crache sur des personnes de bonne vertu, il rampe à contre-sens pour le seul bien de son bide.
Cependant, il a un grand mérite, c’est le seul qui se marie à chaque été politique. Bon, c’est un peu cette serviette de chambre que tout le monde utilise passagèrement.
A écouter Makanéra ces derniers temps, ce rabatteur puisqu’il a le don de polluer l’espace politique auquel la nature prête allégeance, révèle tristement le niveau de pauvreté intellectuelle dans notre débat politique.
Ancien porteur de sac de Bâ Mamadou et de Siradio Diallo, crieur public de Alpha Condé, griot de Cellou Dalein Diallo, Makanéra Kaké a servi de valet dans tous ces grands milieux politiques.
Il connait bien sa place et son rôle en politique. C’est un objet de distraction et de décontraction politique. C’est le rôle de tout brouillon du groupe. Et ça, il sait bien le faire !
Au RPG, Makanéra a toujours été une pièce de rechange surtout de seconde main, jamais un objet de premier plan.
Aujourd’hui, très malheureusement, il se donne des pleins pouvoirs pour décider du sort du RPG.
C’est compréhensif ! Le RPG quitte la case de naissance dans une civière pour regagner sa dernière demeure (tombeau).
Dommage, les alliés de la dernière seconde ont eu raison du RPG !
Alpha Condé avait raison de dire que : « le RPG n’a pas de cadres ». C’est vrai, avec cette convention extraordinaire au passage forcé, on se rend bien compte : « Qu’au pays des aveugles, les borgnes sont rois ».
Avec le temps, ça se confirme, le RPG originel était un aride désert des savoirs.
Là où un Makanéra, qui n’est même pas un idiot utile et qui n’intéresse personne est porté au pinacle, c’est triste et c’est regrettable.
Et si le RPG avait déjà de son vivant assisté à ses propres funérailles quand Alpha était encore au pouvoir ?
Par Habib Marouane Camara, éditorialiste.