Une crise environnementale dans le grand Conakry. (Par Bouya Konaté)
La situation environnementale dans le grand Conakry devient alarmante, avec une crise qui menace la région. La principale cause de cette crise est le nombre croissant de forages à eau potable qui sont réalisés sans aucun contrôle ni régulation. Cette absence de supervision conduira à des conséquences désastreuses pour la terre et les habitants , sans que les autorités ne réagissent de manière appropriée.
Les conséquences de cette situation sont visibles partout, la terre s’affaisse, les nappes phréatiques sont surexploitées, et les ressources naturelles finiront par s’épuiser si des actions urgentes ne son prises.
Ce qui est encore plus inquiétant, c’est le manque de réaction des autorités face à cette crise environnementale. Les responsables politiques semblent faire preuve d’une démission totale, ignorant les avertissements des experts. Cette indifférence face à une situation aussi critique est profondément préoccupante, et remet en question la capacité des autorités à protéger l’environnement et à garantir la qualité de vie des citoyens.
Il est grand temps que les autorités réagissent et prennent des mesures concrètes pour faire face à cette crise . Il est impératif d’établir des régulations strictes pour encadrer les forages à eau potable, afin de préserver les ressources naturelles et de garantir un accès équitable à l’eau potable pour tous. De plus, il est essentiel que l’état s’engagent activement dans la sensibilisation des citoyens à l’importance de la préservation de l’environnement et de la nécessité de prévenir les dégradations.
Le futur de la Guinée dépend de la manière dont elle gère cette crise environnementale dans le grand Conakry. Si les autorités continuent d’ignorer les problèmes et de ne pas agir, les conséquences pourraient être désastreuses pour les populations et pour l’écosystème . Il est donc urgent que des mesures soient prises pour protéger l’environnement et assurer un avenir durable .
Bouya Konaté
La génération du progrès
UDIR.