Le PDG du groupe SAM GBM Antonio Souare qui ce week-end aura davantage marqué les esprits en réunissant autour de lui plusieurs figures importantes venues saluer cet autre bijou du monde hôtelier bâti à Dubreka à quelques kilomètres de la capitale Conakry.
Cet engagement citoyen et patriotique de l’homme semble torturer des esprits malsains qui cherchent a détourner le natif de kindia de sa mission samaritaine pour le pays qu’il porte au cœur et prêt à tous les sacrifices possibles.
L’illustration parfaite de cette haine satanique est l’accusation malhonnête portée sur le groupe GBM qui pour les récents débordements des supporters dans l’air de jeu lors du match Guinée Malawi par les personnes qui n’ont jamais cessé de faire la promotion de la suspension du Stade Général Lansana Conté de Nongo. Douché par l’engament de l’homme qui s’est personnellement déplacé pour aller chercher le matériel électrique et les pelouses de haut standing afin de rentrer dans les normes imposées par la caf, les opportunistes cherchent vainement à opposer la famille du sport guinéen et les supporters du syli à celui qui a révolutionné le football guinéen (Antonio Souaré).
Ce n’est un secret pour personne Antonio Souaré fait objet d’une guerre par procuration menée par la caste qui a gangrenée le monde sportif guineen.Le comble c’est ce rôle que mène les ex adaptes des fauteuils d’attentes de GBM et les couloirs de la salle d’attente de la fédération. Une attitude lâche qui ne surprend guère quand on se réfère au profil et le parcours des acteurs.
Ce qui est pitoyable c’est de justifier son inefficacité en accusant fortuitement et le cas des évènements du matchs Guinée Malawi ne relève que dans ce cadre. Heureusement le temps étant le meilleur juge est entrain de révéler le vrai visage de ceux qui se sont nourris dans la paume de l’homme et qui désormais ne rêvent que de le briser et anéantir la chance des milliers de jeunes guinéens qui construisent leur rêve et avenir à travers Antonio Souaré.
L’histoire retiendra que pendant que certains étaient dans les combines puantes Antonio Souaré ajoutait une flèche patriotique à son arc avec l’ouverture de l’hôtel à Dubreka.
Idi de Dakonta